La fourrure : Aïe ça fait mal
Ce message est une parenthèse -
Ca se passse en Chine, et en finlande
Que penser devant les regards implorants des animaux qui vous supplient de mettre fin à leur supplice quand ils sont dépecés VIVANTS pour leur fourrure ou quand ils meurent blessés et stressés au plus haut point dans leur quelques cm de cage ...
Je suis allée fouiner sur les sites qui en parlent et je ne peux dormir, que faire ... Invectiver les porteurs de fourrure ? Signer des pétitions ? Partager sur les forums ? Comment aider ces bêtes, comment ?
On peut toujours écrire un email à chinaemb_fr@mfa.gov.cn, ambassade de Chine.
Pour preuve :
Quand les ouvriers s’approchent des animaux, le regard de ces derniers exprime toute leur impuissance. Avant d’être dépecés vivants, les animaux sont arrachés de leur cage et jetés au sol ; les ouvriers les matraquent avec des barres de fer et les projettent violemment sur des surfaces dures, brisant ainsi les os et entraînant des convulsions, mais pas toujours une mort immédiate. Alors que les ouvriers commencent à arracher la peau et la fourrure des animaux, ces derniers se tordent de douleur et leurs membres encore libres tremblent. Les ouvriers font pression avec leurs pieds sur le cou et la tête des animaux qui luttent avec trop d’acharnement, pour que l’entaille soit franche. Quand la fourrure est enfin arrachée de l’animal, la dépouille ensanglantée est jetée sur un amas d’autres corps qui ont subi le même traitement. Certains animaux sont encore vivants : ils respirent péniblement et clignent lentement des yeux. Le cœur de certains bat encore 5 à 10 minutes après qu’ils ont été dépecés. Un enquêteur a filmé un chien sauvage (chien viverrin) entièrement dépecé, qui a eu assez de force pour relever sa tête nue et ensanglantée, et fixer son regard vers l’objectif.
Des enquêteurs de la Protection Suisse des Animaux et d’EAST International ont récemment fait le tour des fermes d’élevage de la province d’Hebei, en Chine ; on a dès lors vite compris pourquoi l’accès à ces fermes est interdit à toute personne extérieure. Aucune loi en Chine ne réglemente ces élevages. N’importe qui peut ouvrir une ferme et massacrer des animaux à loisir ; cela entraîne une vie de misère et une mort atroce pour ces derniers. Malgré les pressions internationales, les conditions de vie des animaux ne s’améliorent pas.